Mais
le séjour à PRAGUE, la « Paris de l’Est », réservait
d’autres découvertes et d’autres émerveillements grâce à Katerina et Ivana,
les guides talentueuses des deux groupes constitués autour des noyaux
durs « car jaune » et « car bleu »… :
§
Promenade
dans la VIEILLE VILLE,
quartier historique avec sa place
bordée de superbes façades, son Hôtel de Ville, son beffroi et sa célèbre
horloge astronomique
du XV°s (que de monde pour contempler les apôtres qui l’animent à chaque
nouvelle heure)… L’église Notre Dame de Tyn (certains y assisteront à
un concert), la cour des Marchands et l’imposante Tour Poudrière.
§
Visite
guidée du château de KARLSTEJN,
un des plus beaux de Bohême, monumental, que Charles IV avait fait bâtir
sur un éperon rocheux inaccessible pour recevoir sa collection d’objets
religieux et les joyaux de la Couronne.
§
Bain
de foule dans le château de PRAGUE, grand complexe de bâtiments
historiques et siège du Président… L’imposante cathédrale Saint Guy, le
vieux Palais Royal et la salle Vladislav, la pittoresque Ruelle d’or où l’Empereur Rodolphe II aurait
installé des ateliers de fabrication d’or (Kafka y travailla au N°22 en
1916 et 1917)…
§ Et
après un déjeuner dans un restaurant typique du quartier, descente vers
le quartier de MALA STRANA, son église baroque Saint Nicolas, avant
la traversée de la rivière Vltava (certains y feront une croisière) par
le célèbre Pont Charles,
avec ses deux tours, ses trente statues et son animation de peintres,
dessinateurs caricaturistes et musiciens.
§
La découverte
de l’église Notre Dame de Lorette – de style baroque, ancien lieu
de pèlerinage, avec son carillon, son cloître à deux niveaux et son Trésor
abritant de nombreux objets liturgiques, comme un ostensoir paré de plus
de six mille diamants – précédait la visite du couvent de Strahov,
surtout connu pour sa splendide bibliothèque et les jardins offrant l’un
des plus beaux panoramas sur Prague et, dans le même plan, sur les deux
rives de la Vltava.
Un sentier goudronné, au milieu des cerisiers
en fleurs sur la colline de PETRIN, selon une pente qui convenait
aux plus exigeants, conduisait enfin à un funiculaire et au quartier proche
du Pont Charles.
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