ILS
Y ETAIENT…
«… il vous suffira de dire :
« j’étais à Austerlitz » pour que… »
Napoléon, camp impérial, le 12 Frimaire an
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Jacqueline
et Hervé AUBERT 3/2 – Anne-Marie et Georges BARBRY 7/2 – Samira et Abderrrahmen
EL BEJAOUI 4/3
– Liliane et Martial BONGUET 6/4 – Mélanie et Raymond CANEVET 3/4 – Geneviève
CHRETIEN 4/1 – Juliette et Jacques COLINMAIRE 1/4
– Françoise et Roger-Eric DAESCHNER 1/4 – Françoise et Michel DEMESY 1/1
– Nicole et Gérard DROUILLOT 2/4
– Anne-Marie et Jean-Claude DUSSER 7/2 – Jocelyne et Michel FARINE 7/2
– Guylenne et Jacques FERRON 1/4
– Marie-Claude et Pierre GIRARDOT 4/2 – Claudine et Jean-Claude GROLIER
2/1 – Françoise GUEGUEN 4/2 – Françoise et Guy GUNEPIN 7/2
– Juliette et Kamel KHRISSATE 6/4 – Annick et Jean-Claude LEDOUX 3/3 –
Charlotte et Robert LERAY 7/1 – Marion et Bernard LETRANGE 6/2
– Zeïneb et Mekki LOUIZ 4/3 – Paulette MAIGNAN 6/3 – Danielle MECHAIN
3/3 – Catherine et Jacques MELARD 2/4
– Yves MICHEL 1/2 – Claude NOEL 6/4 – François QUILICHINI 2/3 – Nicole
et Alain ROUGEVIN-BAVILLE 6/2.
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Ceux-là
quittaient PRAGUE, le 24 avril 2006, alors même que les brouillards du
GOLDBACH se dissipaient. Négligeant au passage la colline de SANTON, premier
poste d’observation de Napoléon, c’est sous un soleil (…) magnifique qu’ils
atteignaient, en fin de matinée, le château de KAUNITZ à
SLAVKOV (Austerlitz), résidence, la veille de la bataille, des Empereurs
alliés François II et Alexandre I. Napoléon s’y serait reposé quelques
heures après la victoire et après y avoir transféré son état-major. Le
6 décembre, dans la grande salle ovale, l’armistice y était signé par
le maréchal Berthier et le comte Liechtenstein.
Après
un déjeuner substantiel dans une auberge confortable
(mais à l’aspect extérieur plutôt insolite !), « la Bugeaud »
se retrouvait au Mémorial de la Paix
sur le plateau de PRACE – cette colline de « PRATZEN »,
attaquée et enlevée victorieusement par Saint-Hilaire, dès 8H30 le 2 décembre…
Visite du musée, vidéoprojection très pédagogique sur les différentes
phases de la bataille,
recueillement dans la crypte,
puis regroupement sur le parvis pour un appel des p’tits cos morts pour
la France et en service commandé, avant une minute de silence et un « pékin
de bahut » particulièrement ressenti.
Cette
journée, à la rencontre de l’Histoire et de notre histoire, s’achevait
sur le site de ZURAN, l’endroit stratégique d’où Napoléon
contrôlait tout le champ de bataille et d’où il avait déclenché toutes
les premières grandes manœuvres… Impression forte en découvrant cette
vaste étendue et en décryptant la table d’orientation
située en territoire français (Slapanice, Jirikovice, Ponetovice, etc…)
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