Hommage et reconnaissance
à la Bugeaud
«
Les fleurs offertes à la BLR (Bugeaud Languedoc Roussillon)
en reconnaissance de lardeur de ses voltigeurs, Barbry, Chapelle,
Chavanier, Farine, Monier-Vinard, Thiéblemont, placées en
majesté chez Thiéblemont sous les trophées arrachés
à la terre dAlgérie après son indépendance
par Monier-Vinard et Coignard ». |
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MERCI à nos G.O
pour l'organisation de cette réunion
de
La BUGEAUD
parfaitement réussie
avec une super ambiance
Reportages :FILMS
ALBUMS
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Les conséquences
furent tragiques. Attachée à son étang, la flamante refusa de suivre son
volatile dans des expéditions lointaines. Elle tomba enceinte. Comme aucun
flamant du Vaccarès ne déclarait sa paternité, la belle fut vivement questionnée
par le conseil des anciens. Privée de crevettes, interdite de vol, elle
finit par avouer : le père était un estrangé à la famille, une espèce
de casoar ! La pauvrette, elle fut chassée du Vaccarès. Elle migra
vers le Ponant, elle plana au-dessus d’Aigues Mortes, aperçut l’étang
du Repausset. Elle s’y posa. Là, on s’y sentait encore coupable d’avoir
écharpé des Italiens et l’estrangé était le bienvenu. Les flamants du
Repausset lui offrirent leurs crevettes et leurs cabanes de sagnes. Elle
accoucha. Ses petits mâles étaient fins, joyeux et pleins d’entrains.
Ils n’eurent pas de mal à trouver les chemins de leur reproduction.
A Aigues Mortes, quand les anciens
ont aperçu pour la première fois mes plumes de casoar, ils se sont escagassés :
« Eh ! Le Parisien, vous seriez pas un bâtard de la flamante
? » - « Non que je leur répondis connaissant la légende, ce
sont ses petits qui sont mes bazars ! ».
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